Dans le cadre de notre partenariat avec le Groupe Figaro, les start-ups du programme Start-up your brand bénéficient d'une belle visibilité au travers d'un Figaro Partner pour valoriser leur expertise.
Qui sont les quatres start-ups de l'Adtech en cours d'accélération par l'Union des marques ? :
diago accompagne les entreprises dans la révolution de la relation client en déployant des assistants conversationnels vocaux, capables de mener en totale autonomie des interactions de haut niveau, disponibles 24/7 et dans une large diversité de langues. Hébergeant ses données et modèles en Europe, diago offre une solution pleinement souveraine et garantit une protection maximale des données personnelles.
Gimii propose une solution de consentement solidaire, le Consent Raiser, qui permet aux sites web d’augmenter leur taux de consentement tout en finançant des associations. Le Consent Raiser est une pop-up complémentaire à la CMP (plateforme de gestion du consentement) qui n'est affichée qu'aux utilisateurs ayant refusé les cookies.
Fondé en 2021 à la sortie du confinement, Le média Positif a pour mission de montrer une autre face de l’actualité en partageant chaque jour à ses 8 millions d’abonnés des bonnes nouvelles et des portraits de citoyens, d’associations et d’entreprises engagés. Marque média leader sur les réseaux sociaux en France, dans le monde anglo-saxon et hispanique, Le Média Positif diffuse les initiatives positives, innovations et corps de métiers de ses partenaires.
Skoleom est une agence transmédia qui lance sur le marché international sa technologie brevetée, permettant l'acte d'achat à l'intérieur des contenus audiovisuels, sans aucune redirection.
Les start-ups de l’Union des marques donnent leur avis d’expert
Il est clair que l’enjeu de la satisfaction client est central pour les marques à l’heure où 9 clients sur 101 déclarent se tourner vers la concurrence en cas de mauvaise expérience avec l’une d’elles ! L’expérience consommateur se crée à différents niveaux : au niveau de l’offre produit mais aussi tout au long du parcours d’achat et des points de contact avec la marque.
Pour répondre à cet enjeu, les start-up de la promotion #14 du programme Start-up your brand de l’Union des marques ont développé des solutions visant à l’optimisation de la relation client pour plus de fluidité et de satisfaction ainsi qu’au développement du capital sympathie des marques. Découvrez leurs avis d’expertes ci-dessous.
En quoi l’arrivée en force de l’intelligence artificielle (IA) au service de la relation client acte-t-elle un changement de paradigme majeur ? par diago
Dans un contexte de digitalisation croissante de la relation client, le canal téléphonique demeure incontournable pour satisfaire les attentes des clients en matière d’efficacité, d’accessibilité et de proximité. Privilégié par 61%2 des consommateurs pour contacter une marque, il offre une expérience personnalisée et reste perçu comme la meilleure option pour obtenir une réponse immédiate. La distribution automobile, les opérateurs télécoms et les assurances figurent en tête des secteurs pour lesquels le téléphone tient encore une place prépondérante dans la gestion de la relation client.
C’est aussi le canal le plus coûteux et le plus difficilement adaptable à une volumétrie de demandes qui évolue au gré des heures de la journée et des crises ponctuelles, laissant potentiellement les usagers concernés livrés à eux-mêmes. Le modèle actuel des centres d’appels délocalisés est donc amené à être considérablement remis en question par l’émergence de l’IA et son déploiement déjà palpable dans le secteur de la relation client. Ainsi ces dernières années ont-elles vu l’arrivée en force d’outils délivrant la promesse d’« augmenter » les opérateurs des centres d’appels en leur soumettant clé en main les réponses à fournir à leurs interlocuteurs, accroissant dans le même temps leur productivité de près de 15 % PC3.
Mais cette première étape, déjà significative, ne permet pas de proposer une réponse durable et convaincante au sujet qui catalyse les difficultés : l’inélasticité de l’offre d’opérateurs face à une demande intermittente. C’est devant ce constat que se sont développés des agents virtuels capables de gérer en toute autonomie les appels de plus de la moitié4 des usagers, tout en redirigeant efficacement les interactions les plus complexes vers un opérateur humain. Cette nouvelle proposition, qui vient bouleverser l’écosystème en place en apportant une réponse immédiate à cette exigence de disponibilité et à la tenace barrière linguistique, offre en outre un tarif unitaire d’appel parfois divisé par quatre ou cinq5. C’est enfin l’espoir d’une solution durable et convaincante à la frustration croissante des clients face aux serveurs vocaux interactifs (SVI) et aux répondeurs enregistrés.
Devant la promesse de réduction des coûts opérationnels et la confiance croissante dans l’IA générative, peu de doutes subsistent quant à la diffusion large de cette technologie dans les années à venir. diago , start-up spécialisée dans le déploiement d’agents conversationnels, s’emploie ainsi à relever les derniers défis pouvant permettre une large adoption : garantir la confidentialité des données des usagers et des marques et bâtir des assistants enfin fidèles à l’image que ces dernières souhaitent véhiculer auprès de leurs clients.
2. Source : étude Salesforce, octobre 2022.
3. Source : étude Stanford University, avril 2023.
4. Source : McKinsey, juin 2023.
5. Source : Xerfi, « L’impact de l’intelligence artificielle dans la gestion de la relation client », octobre 2024.
Les données personnelles sont cruciales pour les marques. Comment optimiser leur collecte alors que les contraintes légales sont de plus en plus strictes et que la méfiance des internautes est grandissante ? par Gimii
Depuis le RGPD en 2018, les exigences réglementaires concernant le recueil du consentement des internautes pour utiliser leurs données personnelles à des fins publicitaires se sont renforcées pour les sites. En moyenne, tous sites confondus, 41 %6 des internautes n’acceptent pas les cookies. Lorsque le consentement n’est pas donné par ceux-ci, le revenu par page est près de deux fois et demie moins élevé7 pour les sites avec de la publicité. Et pour les annonceurs, toujours dans un contexte sans consentement, leurs campagnes publicitaires génèrent environ 5,5 fois moins de conversionsé8 . Comme le montrent ces chiffres, le consentement est clé pour la monétisation des campagnes de publicité. Or celui-ci est de plus en plus compliqué à obtenir face à des utilisateurs sensibilisés et à des contraintes légales strictes.
En effet, la CNIL, autorité de contrôle française, fait évoluer ses lignes directrices concernant la vie privée. Le cas controversé des paywalls (c’est-à-dire le fait d’accepter les cookies ou, sinon, de payer pour accéder au contenu) en est un bon exemple : la CNIL a voulu les interdire, mais le Conseil d’État a mis son veto. À ces incertitudes légales s’ajoute la réticence des internautes à accepter le traitement de leurs données personnelles. Des atteintes à la vie privée de la part notamment des géants du numérique ont aussi renforcé la méfiance des utilisateurs, qui ne donnent plus leur consentement avec facilité. Enfin, les enjeux RSE (responsabilité sociétale de l’entreprise), comme la nécessité de réduire les émissions de dioxyde de carbone des campagnes publicitaires au moyen de divers leviers dont la limitation du nombre de données traitées, sont également à intégrer à cette équation complexe.
Les défis pour les marques sont donc nombreux et parfois contradictoires : respecter des lois qui sont strictement interprétées par les autorités de contrôle, regagner la confiance des utilisateurs tout en utilisant leurs données personnelles, convaincre sans contraindre, orienter sans influencer, mieux cibler sans tracker, créer de la croissance et réduire ses émissions… Des solutions hybrides et innovantes comme celles de Gimii peuvent apporter une réponse. Gimii souhaite en effet composer avec ce nouveau cadre légal tout en offrant une alternative équitable, allier publicité responsable et respect de la vie privée et proposer ainsi un compromis qui permet aux marques ainsi qu’aux internautes de s’y retrouver.
6. Source : étude Didomi, 2024.
7. Source : étude Pubstack, «GDPR user consent has a HUGE impact on your advertising revenues », mars 2020.
8. Source : Google
Pour quelles raisons les marques font-elles le choix d’un engagement authentique ? par Le Média Positif
Face aux attentes croissantes des consommateurs pour des engagements sociaux et environnementaux sincères, les marques sortent du cadre commercial pour participer à des initiatives concrètes. Dans ce contexte, la crédibilité de leurs actions devient un levier stratégique.
Aujourd’hui, les consommateurs se montrent de plus en plus exigeants envers les marques, qu’ils ne veulent plus seulement voir comme des vendeuses mais comme des actrices responsables. S’engager pour des causes sociales ou environnementales devient une attente forte : face à des enjeux comme le climat ou la solidarité, les marques ne peuvent plus se contenter de promesses, elles doivent prouver leurs intentions par des actions concrètes.
Cependant, ce mouvement soulève une question de taille : comment éviter que ces engagements ne se réduisent à une simple opération d’image ? Le risque de greenwashing (ou « écoblanchiment ») est bien réel et peut ébranler la confiance des consommateurs si les actions semblent déconnectées de la réalité ou des valeurs de l’entreprise. La crédibilité repose donc sur des projets fondés sur des preuves, visibles et mesurables, dans le respect de la réglementation française et européenne sur les allégations environnementales.
Dans ce contexte, des initiatives comme le « Tour de France des initiatives positives », porté par la Macif et Le Média Positif , montrent une voie possible : il s’agit de financer des projets à impact positif, ancrés dans la réalité du terrain et soutenus de manière continue. Ce type de programme met en lumière des actions locales et concrètes, loin des campagnes promotionnelles.
Pour les marques, ce virage représente un véritable défi. Trouver un équilibre entre visibilité et authenticité est essentiel et cela passe souvent par des relais médiatiques capables de valoriser les initiatives sincères du terrain. Des exemples comme Le Média Positif montrent comment des plateformes consacrées aux enjeux sociétaux peuvent porter ces engagements de manière crédible, en phase avec les attentes des publics d’aujourd’hui.
Télévision connectée, télévision « intelligente » : et si le rêve devenait réalité ? par Skoleom
Les nouvelles technologies transforment notre manière de consommer le contenu audiovisuel, mais aussi la publicité. Une étude réalisée par LG Ad Solutions en décembre 2023 révèle que 53 % des possesseurs de smart TV rêvent d’achats instantanés pendant la diffusion des publicités. Mais comment rendre ce rêve possible et améliorer l’expérience utilisateur au-delà des solutions actuelles ?
Aujourd’hui, des technologies comme les QR Codes ou l’affichage de l’adresse du site Internet dans une publicité permettent une interaction limitée. Il faut sortir son téléphone portable, scanner, avoir une connexion stable. Des outils plus avancés, comme la reconnaissance d’image, commencent à offrir des possibilités plus intégrées. Cependant, ces technologies restent cantonnées à l’écran publicitaire et nécessitent souvent une manipulation supplémentaire de la part de l’utilisateur.
Grâce à l’intelligence artificielle (IA), de nouvelles solutions voient le jour, comme celle de Skoleom avec sa technologie innovante « Watch On Skoleom », prévue pour l’été 2025.
En effet, avec sa puissance de calcul, l’IA peut désormais permettre la reconnaissance de produits directement dans le contenu audiovisuel, à partir d’une base de données produits préalablement constituée.
C’est un pas vers un monde où le spectateur pourra interagir avec le contenu lui-même, transformant ainsi la télévision en une véritable plateforme de commerce sans interruption. Imaginez : vous regardez un film et, d’un simple geste, vous pouvez acheter les produits vus à l’écran sans quitter le flux vidéo ni être redirigé ailleurs. La publicité devient alors un outil interactif où l’action est aussi fluide que le contenu !