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Communication responsable : le goodvertising, et après ?

Edito de la Lettre d'information #6 FAIRe2020

Depuis une dizaine d’année, les marques ont pris conscience de la nécessité de communiquer de manière plus responsable : le travail mené au sein de l’Union des marques par les 35 signataires du programme FAIRe en est une très belle démonstration qu’il faut saluer tant l’engagement de ces marques est fort.

Mais parallèlement, les consommateurs sont de plus en plus exigeants, leurs attentes de plus en plus précises et leur niveau de sensibilisation aux sujets de la responsabilité des marques tendent à faire changer à nouveau le paradigme de la communication : la créativité au service de la cause ne peut plus répondre à tous les enjeux.

La preuve ne suffit plus, le goodvertising – marketing responsable, publicité positive –  non plus.

Les marques ont encore trop souvent tendance à prendre la parole à la première personne comme si seules, elles pouvaient sauver le monde, en oubliant qu’elles s’adressent à des publics qui veulent certes, consommer de façon responsable mais aussi contribuer activement à prendre soin de la planète et à faire changer la société.

Et si après le purpose et la mission, l’heure était à la promesse de transformation des marques? Et si aujourd’hui elles devaient oser aller plus loin en cherchant à savoir comment aider leurs clients à atteindre leurs objectifs ? Et si la responsabilité était réellement l’affaire de tous ?

A l’occasion de FAIRe2020, 1ère matinée du marketing et de la communication responsables nous mettrons en lumière les réponses remarquables et inspirantes de toutes ces marques qui s’engagent pour répondre au défi d’une économie dynamique mais toujours responsable.

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Jean-Luc Chetrit, Directeur général Union marques